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dimanche 19 novembre 2017

PALERMO BLITZ


   Il y a quelques semaines, je suis tombée, un peu par hasard c'est vrai, sur un numéro ultra désirable du Madame Figaro. A la une, une rencontre au sommet entre deux idoles, deux princes du son et du mot : Biolay, Daho.
En cette semaine anniversaire (coucou, j'ai 26 ans :), Benjamin et Etienne m'offrent deux cadeaux plutôt géniaux (ok donc maintenant, la fille s'approprie les vedettes...), et il fallait absolument que je t'en parle.


Contrairement à Brigitte, plus le temps passe, plus B.B. s'embellit. Ces deniers mois, la fan des chansons que j'étais s'est donc transformée en fan du chanteur (les idoles vivantes, c'est quand même plus marrant). 
Chaque mercredi soir, je suis planquée chez moi, devant la Nouvelle Star. Et depuis hier, complètement emballée par mon cadeau d'anniversaire. Un sublime livre signé Marcel Hartmann, qui a suivi Benjamin en tournée, et photographié Biolay comme jamais. En noir et blanc intégral, les clichés sont incroyablement vivants, pris sur le vif, sans artifice. Je recommande.



Pour les fans purs et durs, une édition limitée (250 exemplaires) est également dispo en pré-commande sur le site de la Galerie 213, contenant un vinyle avec trois titres inédits ainsi qu'un tirage signé de Marcel Hartmann. C'est bientôt Noël, hein les gars ?

 Quatre ans. Quatre ans que j'attendais avec la plus grande impatience le retour de Saint Etienne. Et puis, vendredi, j'ai découvert "Blitz".
Un diamant brut et sombre, emprunt de brume et d'un séduisant parfum de mort. L'insouciance se fait dark, les arrangements glacés subliment des paroles aux allures de paraboles, les mélodies enivrantes et illogiques reflètent à merveille un monde à l'envers, qui va de travers.
Évidemment, chaque piste est un nouveau bouleversement. Qu'il s'agisse de la sauvage "Chambre 29", laissant deviner derrière un nuage de fumée le Daho d'avant, des ultra noirs "Baisers Rouges", ou encore de l'addictif "Après le Blitz", un disco apocalyptique qui n'est pas sans me rappeler "Les Chansons de l'Innocence Retrouvée"...


"Y'a pas quatre heures, j'avais vingt piges", et déjà des idoles qui donnent le vertige (amis de la poésie, bonsoir).





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